Bien le bonjour, amis virtuels ! Il commence à y avoir un peu de peuple ici, c'est très bien. 68 fans sur Facebook, et quelques 17 abonnés sur Twitter. C'est un début, mais qui ne faiblit pas, voyons ça positivement. Quoi de neuf depuis le mois dernier ? J'espère que cette nouvelle année s'annonce bien pour vous tous et bla bla bla. Pouet. Mardi, c'était mon anniversaire. Et oui. Me voilà avec vingt-deux balais. Cela se fête. Ainsi, je vous propose de découvrir aujourd'hui ma septième composition, bien différente des autres - une amie, que je salue (yo Lucille !) l'a même qualifiée de "tristoune". A vous d'en juger, je prie tout de même pour qu'elle vous plaise, quitte à vous arracher des larmes. Mais cette nouvelle compo est aussi l'occasion pour moi de vous présenter mon nouveau compagnon de jeu : Clint. Adieu la Stagg rouge, et bonjour l'Alavarez electro-accoustique ! Une nouvelle chanson donc, pour apprivoiser ce nouvel instrument. Aimez, commentez, partagez, et portez-vous bien ! A très vite mes amours. L'Auteur vous salue.

Bien le bonjour, mes petits lutins de Noël ! On ouvre une nouvelle fenêtre de son calendrier de l'Avent, un termine d'emballer nos cadeaux ou on se grouille pour trouver des idées de présents, et surtout, aujourd'hui on publie une nouvelle compo ! Les périodes de fêtes sont une riche source d'inspiration, l'amour et le bonheur coulent à flots, et tandis qu'on s'empiffre de beignets au chocolat, on pense déjà à cet amoncellement de cadeaux au pieds du sapin. Ainsi, l'Auteur vous livre son dernier texte, en vous avouant l'avoir commencé et travaillé, oublié, reprit, et à nouveau oublié, depuis Noël dernier... En espérant que cette nouvelle chanson vous plaira, je vous souhaite, mes petits bichons, une très bonne soirée.

Bien le bonsoir, amis du mercredi. Aujourd'hui, nouvelle compo ! Déjà la cinquième, oui. Déjà... Et déjà près de cinq mois que nous sommes ensemble. Enfin nous, c'est à dire moi et les quelques pleupleus qui vivotent par harsard sur cette page. Mais tout de même ! C'est le début d'une belle histoire d'amour, non ? Et d'amour, il en sera question dans cette nouvelle gerbe linguistique. L'amour, le vrai, le grand, le pur, le beau. Le rêve. Car tandis que nous voyons les couples s'écorcher et s'ennuyer, nous autres célibataires avons encore le bénéfice du rêve et de l'idéal. L'utopie amoureuse. Ah... J'aurais peut-être dû attendre le 14 Février pour la balancer celle-là. De grosses bises à vous tous, et à vous toutes. Je vous aime bien fort.

Bien le bonjour, pauvres âmes mortelles habitantes de ce bas monde. Cette semaine, nous sortons le champagne : elle est là, elle est prête, elle est belle, la quatrième compo ! Nous quittons aussi quelque peu les sentiers battus, avec un chanson un poil différente de d'habitude, puisqu'ici nous parlerons enterrement. Mais vous me connaissez, la légèreté est toujours au rendez-vous. De plus, c'est l'occasion de marquer d'une croix rouge dans le calendrier de la vie l'appartition première d'un accord barré dans l'histoire de mes compos. Il a eu du mal à sortir, le salaud. Hein ? Oui, il a toujours du mal. Je vous laisse, bonne écoute à vous, et à très bientôt. Allez en paix.

Bien le bonjour ! Ce week-end, cette « fin de semaine » comme ils le disent si bien là-bas, c’est une troisième compo que je dévoile au grand jour sous vos yeux illuminés et déglingués par le chlore des piscines municipales. Troisième compo, pas tout à fait. Certains le savent, il s’agit en réalité de ma première. J’ai quelques soucis avec la chronologie. Quoi qu’il en soit, on reste dans le thème de l’enfance. Cette chanson, je souhaiterais la dédier à tous ceux, toutes celles, qui ont eu à souffir de cet énorme fléau qui nous tombe sur la gueule à un virage de la vie… Pour tous les grands frères et toutes les grandes soeurs du monde. La qualité sonore laisse à désirer, j’espère que vous l’apprécierez quand même. Et embrassez vos petites soeurs pour moi, elles le méritent, et parce qu’on les aime quand même. Pouet.