• Bien le bonjour ! Ouverture du blog, première vidéo. Première composition. Petite précision que je me dois tout de même de faire : je ne suis ni musicien, ni chanteur. Ce sont avant tout les textes que je veux mettre en avant dans mes vidéos. Voilà, c’est dit, et je ne me répèterai pas, sinon je m’énèrve, et quand je m’énèrve, j’encule, comme disais mon ami Pierre D. Pouet. Nous allons ensemble rendre hommage à ces héros de notre enfance, et, pour ma part, à mes héros tout court. Certains d’entre vous le savent peut-être, mais je suis un grand amateur de comics, particulièrement Spider-man. Voilà pour la petite anecdote. J’ai donc voulu écrire une chanson sur ces sur-hommes, sur ces sauveurs prêts à en découdre coute que coute avec de terribles méchants dans des aventures extraordinaires qui font vibrer notre imaginaire et valvuler notre désir du Bien. Car au fond de nous, nous voudrions tous acquerir des super-pouvoirs suite à un accouplement avec une belette de Normandie, et rejoindre le rang de ces mythes qui ont bercé, et bercent encore, les êtres inutiles, banals, et misérables que nous sommes. Pouet. Et vous, quels pouvoirs rêveriez-vous de posséder ? Pour ma part, et je le dis sincèrement, ce serait le contrôle absolu du temps. En effet, qui n’aurait pas vendu son chien pour arrêter le temps et tout explorer en tout impunité…


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  • Bien le bonjour ! Vous l’attendiez, vous ne l’attendiez pas, peu importe, il est là. Je suis là. Il est temps pour votre humble serviteur d’inaugurer le blog. Duvisuel, de la poésie, de la grande poésie, des mélodies douces pour vos tendres soirées et vos après-midi pluvieux, et beaucoup de bonne humeur. Voilà ce qui vous est réservé en ces lieux modestes. Ici, nous jouons avec les mots, nous dansons avec la langue, nous gribouillons, nous gratouillons. Nous jubilons. Nous jouons. Vivre, c’est exister. Exister, c’est créer.

    Même mal, mais créer. Faire. Comme l’a un jour dit une grande dame : « Je vous en supplie, faites quelque chose de votre vie. Apprenez un pas, une danse, quelque chose qui vous justifie, qui vous donne le droit d’être habillé de votre peau, de votre poil, car ce serait trop bête à la fin, que tant soient morts, et que vous viviez sans rien faire de votre vie. » Charlotte Delbo a trouvé les mots justes. Ces mots ont résonné dans mon être, puissent-ils résonner en vous de la même manière.

    Je joue, je dessine, j’écris, je compose, j’écris encore, je joue toujours, la scène, le théâtre, l’amour de tout cela, l’amour du plateau, l’amour du faire,l’envie, le jeu, la plaisanterie sérieuse comme disait mon professeur. Je ne sais pas où je vais, mais j’y fonce tête baissée. Une guitare dans les mains, un stylo dans l’autre, et un corps sous la lumière, un corps à la disposition du texte, un texte à la disposition de mon corps, de mon esprit, de mon imaginaire, et mon imaginaire au service du texte. Un corps aussi à la disposition des jeunes demoiselles (envoyez-moi un message privé pour quelques galipettes dans les champs de cotons pour briser la solitude). Pouet. Un vaste champ où se rencontrent Pierre Desproges, Charles Beaudelaire, George Perec, Mia Wallace, Hank Moody et Peter Parker.

    C’est chez moi. Chers amis, je vous souhaite la bienvenue. Let’s rock, et vivent les Pokémon.


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